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Date de création : 27.08.2012
Dernière mise à jour : 12.05.2018
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SA MAJESTE Me MUPILI KABYUMA defenseur de lega?

Publié le 10/09/2012 à 16:48 par carlosmupili Tags : bonne article femme enfants mode femmes éléments bébé congo solidarité
SA MAJESTE Me MUPILI KABYUMA defenseur de lega?

 

« SA MAJESTE Me MUPILI KABYUMA Carlosréclame la reprise des opérationsamani kamilifudans le territoire de Shabunda»

Sa majesté Me MUPILI Carlos est très préoccupée de la situation humanitaire liée à la violation grave de droit de l’homme où plus de 3OOOmorts et 2025 femmes violées par les conflits armés.

En sa double qualité d’abord du Président de centre culturel lega, il a le devoir moral et une responsabilité de parler au nom du peuple lega et surtout de le défendre quelque soit le prix à l’instar de son grand père LUKUMBIA « Mwami wa Kindi» assassiné pendant la rébellion de 1964 à Kyanama-Penekusu.

Ensuite, en sa qualité de défenseur de droit de l’homme, il est président de l’ONGDH nommé «Dynamique chrétienne de défense de droits humains et de l’environnement » et point focal de « Collectif des Auxiliaires Libéraux de Justice » membre de la coalition nationale pour la CPI, il est parmi le ténor à mener un plaidoyer auprès de la monusco pour que celle-ci en son tour soit avocat du peuple considéré victime oubliée au niveau de conseil de sécurité et du gouvernement congolais .

Cette opération « Amani Kamilifu » après avoir analysé minutieusement les insuffisances de la précédente opération « Amani ya Kweli » qui a résulté à un échec sur la protection de civils de massacre, des violences sexuelles ;bref de combattre les crimes de guerre, de crimes contre l’humanité et de génocide orchestrés par les fameux groupes armés dont les plus redoutables les Forces Démocratiques pour la Libération du Rwanda (FDLR).

Retenons que le territoire de Shabunda est le plus affecté des violences sexuelles, c’est pour cela qu’on a fait de lui la capitale mondiale de violences sexuelles. En outre, d’autres détails sur leurs crimes qui ont poussé à la monusco de planifier conjointement avec les FARDC à son temps vous seront expliqués dans les paragraphes qui suivent.

Ces crimes s’organisent en un moment étonnant de joie des FDRL, alors que la Cour pénale internationale, sur décision de la Chambre Préliminaire I du 16 décembre 2011, venait de remettre en liberté depuis le 23 décembre 2011 monsieur Callixte Mbarushimana, leur Secrétaire Général. Les juges n’ayant pas été convaincus des charges retenues par le Procureur, corrélativement aux crimes graves qu’auraient commis les forces de FDLR sur la population civile dans les Kivus en République Démocratique du Congo.

En effet, en dates de lundi, 02 et mardi, 03 janvier 2012, les troupes de FDLR ont une fois de plus continué à lancer des attaques systématiques et généralisées aux fins de la destruction de tout le peuple Lega dans le territoire de Shabunda. Les méthodes et techniques utilisées durant ces attaques rappellent celles qui étaient employées lors du génocide rwandais de 2004 : tueries à grand échelle et sans discrimination des populations civiles lega par fusillades, égorgement, éventrements des femmes en ceintes, pillages, incendies des villages, etc.

 

Pour illustration, les villages de Luyuyu, Ngolombe et Kishenya en groupement de Bamuguba Sud ont été le théâtre de ces dernières tragédies humaines en date. Dans les villages attaqués, il n’ y a eu de survivant aux heures de carnages. Un bilan provisoire fait état de plus de soixante personnes massacrées. Les décomptes des cadavres relèvent provisoirement que dans le village de Luyuyu trente sept personnes ont été tuées parmi lesquelles une femme enceinte éventrée dont le bébé âgé de sept mois a été jeté en brousse.

 

Dans le village Ngolombe on dénombre actuellement 13 personnes assassinées. Au village Kishenya six habitants ont été massacrés parmi lesquels le Chef de village qui a été décapité.

Dans le lot des pillages systématiques signalons celui du dépôt pharmaceutique de l’Action- Solidarité, une organisation à caractère humanitaire.

 

Les troupes des FDLR ont promis de continuer à tirer sur tout ce qui bouge à leur passage dans l’ensemble du  territoire de Shabunda.

 

Pour réverbérer la mémoire, rappelons certains crimes de la série du plan FDLR dans le territoire de Shabunda

1. Depuis mars 2011 plus de 10 000 personnes ont été forcées de quitter leurs villages dans le groupement de Baliga suite à l’occupation des FDLR. Le chef de collectivité ad intérim dont l’administration se trouve installée dans ce groupement s’était échappé avec tous les quatre policiers qui y étaient encore présents pour se refugier à Kigulube avant d’arriver à la capitale Shabunda.

La plupart de déplacés vivent actuellement leur calvaire à Lulingu où des jeunes organisés en groupe d’autodéfense local dénommé Raia Mutomboki assurent leur sécurité.

2. Le mercredi, 17 août 2011, les troupes des FDLR ont lancé des attaques sur la localité de Tchonka  en chefferie Bakisi dans le territoire de Shabunda. N’ayant pas trouvé des personnes physiques, ils ont incendié le marché.

3. Les troupes des Forces Démocratiques pour la Libération du Rwanda (FDLR) s’affrontent, depuis le lundi 29 août 2011, aux jeunes du territoire de Shabunda, ces derniers ayant pris conscience de s’organiser finalement en groupe d’autodéfense locale, Raia Mutomboki. Les combats se déroulent dans le groupement de Kitindi à 220 km au Sud du territoire.

4. Le jeudi, 8 septembre 2011, lors de leurs paisibles attaques génocidaires lancées sur les villages du groupement Ikama-Kasanza, les FDLR ont pris en otage plus de cent personnes essentiellement les femmes, les enfants et les vieillards. Dans l’exécution de leur entreprise, ils ont traqué des milliers des déplacés en refuge dans la forêt de Lutwe et Kamasani. L’effectif des victimes massacrées n’est jusqu’à présent connu. Tous les hommes qu’ils avaient pris en esclavage pour transporter le butin pillé dans la localité de Kitindi étaient égorgés. Ces FDLR provenaient de leur bastion situé à 7 kilomètres de Chabene, sur la route nationale numéro 2. Ils ont traversé la rivière Elila pour attaquer Kitindi, chef-lieu d’Ikama Kasanza, une localité située à 285 kilomètres au sud de Shabunda-centre.

Ces attaques ont eu également des conséquences néfastes sur l’éducation, que la rentrée scolaire n’a plus eu lieu comme prévu par le programme national dans la chefferie de Wakabango I.

5. Signalons que tous les sites libérés par les Forces Armées de la République Démocratique du Congo, pour des raisons de formation sans relève, ont été occupé par les FDLR qui s’y imposent les prérogatives de l’administration publique avec comme principale mission la perception des taxes et l’exploitation des matières précieuses.

Infortunée, l’opinion populaire déplorant ces crimes qui se perpètrent aux yeux doux de l’Etat congolais et de la communauté internationale s’interroge sur plusieurs perceptions notamment :

1.
La connaissance de l'ennemi: qui est FDLR et qui ne l'est pas dans le grand Kivu aujourd'hui ? Où, quand et comment recrute-il ses membres ? Quelle langue parlent-ils dans le bulega? Comment sont-ils payés et par qui ?

 

2. Ses motivations : si les FDLR est un mouvement politico-militaire pour libérer le Rwanda, pense-t-il en occupant Shabunda, Mwenga, Lubutu, etc, territoires non frontaliers du Rwanda qu'il va libérer ce dernier?  A-t-on appris un jour qu'il a occupé un village rwandais ? Si ses combattants sont vraiment hutu, pourquoi ils n'arrivent pas à faire jonction avec les hutu de l'intérieur, et c'est depuis 1994 ? Faut-il les prendre pour des pirates ou des corsaires ou tout simplement ils sont pirates et corsaires ?

L’opération «amani kamilifu » suspendue par le chef de l’Etat KABILA pour des raisons de la problématique de la défection des éléments des FARDCs suite à la guerre d’agression par le Rwanda sous le label d’une nouvelle rébellion du M23 .Cette décision n’a pas tenu compte des situations graves sur les crimes dont les populations de Shabunda et de Mwenga sont victimes par les FDLRs. Le seul bouclier qui servait de moyens de bord c’est l’autodéfense populaire nommée « Raïa mutomboki » en français le peuple se révolte ;disciples de l’idéologie de Mzée KABILA de l’auto prise en charge et de ne jamais trahir le Congo ;et formalisé par le Constitution à son article 63. Curieusement, au lieu que l’Etat congolais contrôle ces compatriotes pour leur éviter des dérapages, il trouve commode de les traquer jusqu’à leur éradication. La devise de l’ennemi de mon ennemi, c’est mon ami est contredit par les FARDCs à l’égard de Raia mutomboki ;la question reste à se poser si les FARDCs seuls seront à mesurer de sécuriser la population qui vit disperser ou la bonne décision était d’encadrer les mai mai à ne pas commettre les crimes contre la population congolaise.